[PV] Coeur de Cotooooooon !!

Regard Ambré détestait regarder le ciel pour admirer les étoiles, mais là c'était obligatoire. Pourquoi ? Car il voyait quelques nuages couleur coton, faisant forme de sa bien-aimée, une femelle blanche neige, une magnifique femelle ... Qui lu manquait énormément. Son départ ... a été rude pour la femelle. Ils sont disputés pour cette raison, son ancien départ ... Coeur de Coton, la grâcieuse guérisseuse, son amour de toujours et de jamais, lui manquait trop. Même si celle-ci apportait encore plus de faiblesse à Regard Ambré, il l'aimait trop pour s'en séparé. Oui, car la guérisseuse du Vent lui apportait de la sensibilité, au mâle. La preuve : il avait laissé partir Pleine Lune. Alors que, avant, il aurait jamais fait ça. Arf ... mais comment oublié cette silhouette fine et avec de belles formes ? L'ancien lieutenant de l'Ombre l'amait, même plus que l'idée d'être le futur dictateur de l'Ombre. Et oui, Regard Ambré avait décidé que il serait dictateur de l'Ombre, modifiant l'âge des apprentis pour quatre mois, comme Plume Brisée. Plum Brisée est son idole, malgré qu'il soit con, pour s'être laissé faire par sa mère. Regard Ambré était lui ... en plus intelligent, et avec plus de faiblesses. Ses faiblesses ? Personne ne le sait, sauf lui. Il a déjà fait connaitre deux faiblesses. Qu'on touche à ses amis et sa sensibilité à Pleine Lune. Deux suffisait amplement. Il se leva, et admira les quatres chênes, centenaires. L'endroit de sa pemière et dernière assemblée. Enfin, peut-être pas dernière, à près tout. Le mâle fit un pas, et grogna de plus belle. Et merde ! Il avait oublié qu'il s'était ouvert je sais plus comment sur sa cuisse. Il lécha le sang, et s'allongea. Il attendait que quelqu'un vienne, pour l'envoyer bouler. Sauf si c'était sa bien-aimée qui venait. Il fit sa toilette en même temps, jusqu'à que son ventre gargouille. Il se leva à nouveau, gracieusement, et déterra une proie qu'il avait enterré avant sa blessure. Il la sorti, mais ne renterra pas le trou. Il mangea sa proie et laissa les os par terre, puis entreprit de se déplacer pour aller un peu plus loin, car l'odeur devenait désagréable, vu qu'il réstait des boyaux. Il boita jusqu'à un chêne, et s'y allongea. Il faisait chaud, trop chaud. Mais le mâle n'avait pas soif, et heureusement. Une forme fine, et gracieuse se déplacait lentement, aux yeux de l'ancien lieutenant de l'Ombre. Il la fixa pendant un petit moment, et gueula très fort :

< Cotoooooon !! C'est moiiii !! >

Coton, ah coton, qu'elle lui a manqué ! Admiratif devant la taille de celle-ci, même si il l'avait déjà vue depuis peu de temps. Elle était pluôt grande, et a un pelage touffu et magnifique. Blanc blanc neige. Quant à lui, c'est un mâle nain, et presque angora. Il baissa la tête, car il avait honte. Oui, car il était laid, vraiment très laid, ne méritant pas une aussi belle femelle, et une aussi gentille. Il posa sa tête sur sa patte, et essaya de cacher sa blessure à la cuisse, en vain. Oh ! Et puis ? Elle vas bien guérir, si elle ne s'est pas infectée. C'était olbigé.

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