PV Papillon

PV Nuage de Papillon

Nuage d'Iceberg se réveillait, la chaleur l'empêchait de dormir, il s'étira & commença sa toilette matinale. Il faisait beau, c'était l'été. Il prit soin de bien se laver les coussinets, c'était là l'endroit le plus sale, les pattes frôlent tout le temps le sol !
Après plusieurs minutes, il fini enfin & entreprit de sortir chasser. Dans le camps, il essayait de marcher la ou il y avait le moins de poussière, c'est pour ça qu'il n'aimait pas l'été & préférait l'hiver.

* Quand il fait froid, les microbes se développe moins !*; C'est ce qu'il se disait souvent. Une femelle l'observait bizarrement, il lui fit une grimace et continua sa route, la femelle jeta un coup d'œil furtif à ses petits, guettant si l'un d'entre eux avait son caractère, de peur qu'ils finissent par être comme lui.

Il évita de s'approcher du chemin du Tonnerre ou de la décharge, pour une raison qu'il avait marre de répéter. Il réussi à trouver une petite clairière loin de toute pollution, mais quand même pas inodore des déchets & se vautra dans un buisson, attendant une proie.
Il entendit peu de temps après un petit cœur battre, & autre bruit plus sourd, il n'y fit pas attention, ça devait être un campagnol. Il mit tout son poids sur ses pattes arrière & bondit quand il percuta un grosse boule de poils, il feula & se mit en position de défense quand il remarqua Nuage de Papillon, la fille d'Ambrée. Elle était belle. Il grogna quand même pour qu'elle lui ai fait rater sa cible. Il reviendrait bredouille au camp. Il se tourna vers elle est lui adressa un sourire.

"Salut, alors que fait tu si loin du camp ?" Ils n'étaient pas très loin, mais qu'est-ce qu'il pouvait dire d'autre ?!

« Bon, j’y vais, plus je me promène sur le sentier de ma vie, plus j’en vois des imbéciles…hé ouais, c’est simple, le monde est peuplé, chaque personne cherche sa voie et moi? Non, je ne fais pas partie de ses imbéciles qui se croit à la tête du monde…je suis différente en quoi? Hé bien, en pas grand-chose à part le fait que moi, j’ai des rêves, vous me croyez pas hein? Enfouit bien profondément dans mon coeur, je rêve de me retrouver un jour, de retrouver celle qui à quelque chose à accomplir ici, pas juste celle qui a été traîné de force dans ce monde. Donc, comme je disais, j’en ais vu des imbéciles, des paroles qui ne veulent rien dire, ça, ça me casse les oreilles un peu plus chaque fois, des plaintes pour presque rien et ceux qui disent ne jamais rien ressentir à part la haine, ne m’en parler pas…Mais parmi tout ceux là, il y a les autres, ceux qui écoute leur cœur et qui vivent comme bon la vie, j’aimerais que tout le monde soit comme ça, pour que j’aille ne serait-ce qu’un seul ami dans ce monde de fou…un seul, c’est vraiment trop demandé?Moi, je trouve que non…sérieusement, ce monde manque d’un chose…l’amour, peut importe qu’elle soit passionné ou familiale, il en manque sérieusement… »

Pourquoi pleures-tu petite alors qu’un seul sourire pourrait te rendre heureuse? C’est le sentiment d’abandon…ouai, je te comprends…Mais arrête un peu, sourit un peu, il est temps que tu recommences à aimer tu ne crois pas? Elle était là, assise sur un rocher de ce territoire encore un peu méconnu, sa fourrure commençait a sentir un peu trop le clan de l’ombre, elle détesterait toujours cette odeur. Tellement trahis, c’est juste ça…elle avait pourtant confiance, elle a pourtant aimé. Mais on l’a trahis, on a juste trop souhaité que ses rêves se détruisent, c’est devenu vrai…Elle pleurait autant qu’un averse ses songes passé la foudroyaient et son cœur brisé lançait le coup de tonnerre, c’est tellement injuste! Elle n’a pourtant rien fait, elle ne voulait que partir…retenu, oui, c’est ce qu’elle est, retenu, même prisonnière ici, dans ce clan de mort. Elle se retourna, peut être que sécher ses larmes et sourire un peu referait revivre un peu d’espoir…pas pour elle en tout cas, mais pour les autres…de toute façon, elle ne voulait pas que son père la voie pleurer et lui donne des baffes, elle voulait se montré à la hauteur pour un jour, qu’il soit fière d’elle, comme elle ait…rien de plus…Elle avança, un peu perdue avant qu’un chat idiot lui fonce dedans, elle n’aurait pas dû quitté son rocher aussi qu’elle idée stupide enfin! Elle se releva, l’autre grognait, elle s’en foutait, elle reconnaissait Nuage d’Iceberg, pas du tout étonné en fait. Encore des mots stupides étonnant que ça aille fait une phrase. Un lueur à moitié emplit de tristesse et à moitié emplit d’une rage folle dans son regard turquoise laissait savoir qu’elle en avait rien à faire…

-ben tient, salut toi, présentement, je me demandais comment tu peux me demander quelque chose d’aussi stupide en te croyant maître du monde…on est sur la même longueur d’onde, évite de te prendre la grosse tête parce que perso, j’en ais rien à faire, donc, agis comme si tu étais quelqu’un de sensé qui vit une vie sans trop se soucier de ses propres pattes…j’ai vraiment, mais vraiment pas la tête à t’endurer aujourd’hui…

Hein ?! Mais qu’est-ce qu’elle racontait ? Lui ce qu’il veut c’est que les gens arrêtent de l’observer bizarrement parce qu’il est maniaque, qu’ils arrêtent de se foutre de lui & surtout qu’ils ne le salissent pas, ni lui ni son image. Mais surtout qu’ils arrêtent les tâches. Bon c’est vrai qu’il avait un peu la grosse tête des fois, mais en étant beau comme ça comment faire ?

Nuage d’Iceberg écouta sa réponse l’air hébété, il savait qu’il ne fallait pas poser cette question débile, Qu’est-ce qu’elle fait dehors ?; Bah, comme lui, elle chasse ou elle se balade et puis sinon c’était pas ses affaires. Il n’appréciait quand même pas trop sa réflexion qu’il n’avait pas vraiment compris, il voulait être gentil qu’elle dise : Bah, je chassais ce campagnol avant que tu me saute dessus, & qu’il s’excuse ou qu’il lui demande si elle allait bien. Il essaya de se rattraper en léchant l’oreille amicalement, sa semblait pas trop faire effet…

- Bah, désolé. Je savais bien que j’aurais mieux fait de rester dans ma tanière et d’attendre l’hiver comme les marmottes; Enfin même si elles sortent en été, mais t’a compris quoi, j’aurais du rester hiberner ! Et puis si t’es pas contente de me voir qu’est-ce que je peux y faire, je suis là et c’est tout ! La prochaine fois je sortirais plus ou j’épierais bien les moindres recoins de la forêt pour m’assurer que t’es pas la & que je me fasse pas assommer ou engueuler. Juste parce que je traîne dehors & que je grogne, je vais plus bouger, le gens croiront que je suis fou & je vais finir chez les anciens parce qu’on va me déclarer inapte pour la bagarre !

Le matou était triste maintenant, personne ne l’aimait, c’était clair & net. Où qu’il aille, ça le poursuivait, personne n’est parfait & certain plus que d’autre & il fallait bien que ça tombe sur quelqu’un à dire, lui. Il tourna le dos à Papillon & enfonça ses griffes dans la terre avant de labourer le sol, il s’énervait. Il était rejeté. Il sentait la haine monter le long de son gosier. Il poussa un cris de rage et s’éloigna de la femelle. Le pire était qu'il n'avait personne à qui raconter son désarroi, aucun ami.

«Pourquoi pas? Ça, je me le dis souvent, pourquoi ne pas lui laisser sa chance? Pourquoi ne pas devenir son amie? Pourquoi pas, deux mots, sans vraiment de sens, qui en apporte plus que ce qu’ils font dire non? Bah, présentement, je me trouve conne, mais je me dis pourquoi pas? Ouai, pourquoi pas avoir un ami dans ce clan…un allié, quelqu’un qui m’aimerais comme je suis et quelqu’un que j’aimerais comme il est…pourquoi pas? Pourquoi? Parce qu’enfin j’ai une réponse, clair et nette, une image dans ma petite tête, une image de l’avenir…bah enfin, si les contraires se complètent…c’est que je ne vis pas dans ce monde de fous…les contraires emmène des disputes…mais pourquoi pas? Après tout, on per plus à ne pas essayé qu’a échoué…nan? »

Ça y est, complètement perdue, elle ne savait plus si il lui fallait en rire ou en pleurer, elle ne le sait plus du tout. Soudain, elle éclata dans un profond sanglot, qui ne pouvait plus en finir. Qui n’en finirait jamais. Comme elle, qui ne finirait jamais de se demander ce qu’elle fait ici…dans ce monde. Incapable de prononcer quoi que sois pour le faire revenir, elle se contenta de se retourner, pour ne pas qu’il voit les flots de ses larmes argentés sur sa douce joue rousse. Non, elle ne voulait plus souffrir, l’avenir importait plus que ce qu’elle songea finalement…vivre dans le présent n’apporte que des ennuis futur…voilà tout…Alors, de sa petite bouche sortit quelque mots emmêler à son sanglot.

-non…reste. J’ai…j’ai besoin de toi?

Ce qu’elle venait de dire avait beaucoup de sens quand ça naissait dans les idées communes de son esprit. Mais là, elle venait de l’envoyer sérieusement chier et voilà qu’elle lui demandait de l’aide, sérieusement, elle comprendrait si il voulait juste partir et ne pas la revoir…

-je ne sais plus….ou j’ai jamais su, mais je ne crois pas que ma venu ici à été désiré…en ce monde, personne ne m’a voulu et me voilà seule, à essayé de m’en sortir alors que finalement, je gâche tout…j’ai gâché ce qui aurait pu devenir une nouvelle amitié n’est ce pas…alors j’en suis bien confuse…tu peux repartir…je le comprendrais et peut être qu’un jour…on se reprendra non?...Non, ce que je dis n’a aucun sens…allé, part, laisse seule, tu n’as plus rien à faire avec moi de toute façon…

Elle pleurait toujours, mais un minuscule sourire apparût sur son visage frêle…mais il ne dura pas bien longtemps…elle avait vraiment tout gâcher, les larmes qui descendaient sur sa joue devenait plus nombreuse, ses yeux prenait un éclat lumineux…elle n’en pouvait plus…c’était trop, vraiment trop. Pourquoi vivre tout ça?

Nuage d’Iceberg commençait à s’en aller quand il cru entendre un sanglot, une petite voix qui lui demandait de rester. Il n’en croyait pas ses oreilles. Avait-il une hallucination ? Non, c’était belle et bien, Elle, qui l’appelait.
Il ne la comprenait pas vraiment, ne l’avais jamais trop comprise et n’avait pas trop cherché, mais quelque chose lui disait de rester, qu’aujourd’hui serait peu être son jour de chance, que quelque chose de bien pourrait arriver.
Le petit matou cherchait quoi faire, il n’osait pas lui parler. Il s’approcha d’elle, et lui donna une léchouille amicale sur le front.

-Je resterais si c’est ça que tu demandes, mais s’il te plaît, n’en demande pas trop… Et si tu veux quand même que je parte, je m’en irais à tout jamais.

Ce qu’il venait de dire, c’était bête, il aurait tout fais pour elle, peut être même défié le clan des Étoiles.
Pendant un instant, il essaya de comprendre la jeune femelle, si mystérieuse, il n’y arrivait pas, peut être qu’elle pourrait lui expliquer un jour ce qui se passait dans sa petite tête, et quelles choses, lacéraient sont cœur et faisaient couler ses larmes. Le félin se coucha près d’elle, observant le vent, ébouriffer le pelage de son amie, et ses dernières larmes s’écraser sur le sol, se mélangeant à la terre.

"si je ne sais plus, est ce que j’ai déjà su? Est-ce que j’ai déjà connu? Ou bien même rencontrer le bonheur…j’aurais tellement aimé le savoir. Les imbéciles dans ce monde…ils sont ce qu’ils sont, mais tous ne le sont pas définitivement, notre avis change avec le temps. Il faut le savoir. Moi, je suis sûre que sous chacun d’eux, ce cache quelqu’un de si doux et gentil qu’ils ont peur de le montrer…comme étoile ambrée, ou nuage de quetzal…même ma mère et pleine lune. Mais eux, leur problème, c’est le voile de tort autour d’eux…étoile ambrée se croit à la tête du monde, il hait tellement tout le monde, qu’il en a oublié l’amour qui, jadis, à ressentit, il ne vaux plus rien. Nuage de quetzal, à vouloir gouverner son monde, deviens comme lui peu à peu. Étoile de roseaux, heureusement autrefois, n’a fait qu’oublié qu’il peut être encore possible d’en ressentir de la joie. Pleine lune pareillement, à tant vouloir changé le passé, elle écrase le futur. Mais moi, je ne veux pas finir comme ça, je veux tout pouvoir voir, l’amour comme parfois la haine, le plaisir qui, contraire au désarrois me ferait rêver. Ceux là, n’en ressentent que la moitié. Mais tous on un point en commun…ils ont tellement rêver en couleur que maintenant, le monde devient en noir et blanc, sans vie, insipide et sans arômes. C’est si triste. J’en pers la tête… »

Ses yeux turquoise ne faisaient que se plonger dans ce sanglot qu’elle ne pouvait faire arrêter, ce n’était que son cœur qui en prenait raison. Elle le savait en plus. Elle ne comprenait plus, mais en même tant, c’est comme si tout devenait clair. Elle ne savait plus quoi faire, elle ne savait pas pourquoi. Elle ne voulait pas savoir. Nuage de papillons leva ses yeux recouverts d’une poudre liquide et transparente de larme argentés. La rouquine se revoyait tant dans le passé de sa mère, elle ne continuait rien, elle repassait par le même chemin, et maintenant, divisé en deux, elle n’a d’autre choix que de comprendre la vie dans lequel on l’a emmené. Mais comprendre et aimer sont deux verbes bien différents. Deux verbes durs à réaliser dans la vie. Elle n’aimerait jamais sa vie, mais au moins elle pourrait la comprendre un peu plus. Puis, aux mots du petit mâle tigré, elle sourit, un léger sourire à travers sa peine. Peut être qu’avec, elle se sentirait plus comprise qu’avec son propre frère, mais elle l’aime, et l’aimera toujours. Peut importe qu’est ce qu’il a fait pour lui pourrir la vie…ou pour la rendre meilleure.

-merci… "Murmura t’elle, le vent, doux passage, souffla sur sa fourrure a faisant s’Ébouriffer, elle détestait ça. Elle regarda, le regard pourtant vide, l’infinie qu’il y a devant elle. Sa bouche s’entrouvrît pour poser des mots à son désarroi.

-la vie…c’est la vie…qu’est ce que je peux bien y faire, je marche chaque dans la profonde tristesse de ma mère et dans la cruauté de mon père…je m’enfonce dans ce monde, sans rien pouvoir faire. Mais plus que tout, j’aimerais pouvoir crée ma propre voie, ne plus avoir à comprendre celle des autre…c’est tout se que je souhaite.

Une dernière larme coula sur sa joue avant qu’elle puisse lui sourire, une sourire si léger qu’il aurait pu ne pas parraître.

Le matou éprouvait une certaine compassion pour cette femelle, elle n’avait pas une vie rêvée, comme lui d’ailleurs, enfin, comme personne.
Faites que le rêve dévore votre vie avant que la vie ne dévore votre rêve, pensa-il.
Les larmes de Nuage de Papillons faisaient briller ses yeux dans lesquels il aurait cru apercevoir une lueur d’espoir. Il y avait de l’avenir pour elle, pour tout le monde d’ailleurs, il fallait juste le vouloir et avancer.

« Tu n’as pas à te morfondre sur ce que tu es, ou ce que les gens font. C’est comme ça un point c’est tout, leur histoire est écrite tu ne pourras rien y changer. Ta voie est déjà tracée, tu n’as qu’a suivre le chemin, ne cherche pas dans quelle direction aller, il te suffit d’aller tout droit, écoute ton cœur, il ne te dit pas d’attendre, aucun train ne viendra te chercher… »

Il essayait de lui montrer la voie à suivre, de lui tendre la patte. Pour un jour apercevoir un soleil illuminer son regard. Mais qu’est-ce qu’il y connaissait lui ? Rien, il avait sa propre philosophie, un monde sans taches, de lumière et de clarté, rayonnant de couleurs, comme un iceberg- il portait bien son nom. Peut être que Nuage de Papillons était le bonheur qui lui glissait entre les pattes. Chaque fois qu’il s’approcherait de ses merveilles, elles s’envoleraient un peu plus loin, le forçant à courir pour les rattraper, pour qu’ils partent à tout jamais et qu’ils ne voient jamais leurs fins. Les papillons comme le bonheur son magnifique mais éphémère…

Il se demanda s’il valait mieux pour lui de la laisser tranquille, qu’elle ne s’intéresserait surement jamais à lui. Mais il n’aimait pas voir les gens sombrer, surtout quand il aurait pu les aider.

[J’espère que je fais assez de lignes pour toi ^_^]

Elle ne savait plus part ou commencer, elle ne pouvait plus s’avoir, elle s’était fait un monde, et voilà qu’elle devait tout reprendre à zéro. Mais pourtant, elle se sentait allégis et maintenant plus libre d’un poids qui faisait tant de différence, elle ne rêve que de se voir planer, oui, planer entre ses infinies rêves, entre ses songes brisés et son passé démolit, les yeux clos…juste oublié sans rien faire…juste oublié. Tout recommencer. Elle ne peut pas partir d’Une larme pour sourire. Comme une pensé négative peut abattre tant de choses merveilleuses. Elle s’est laissé abattre, comme de quoi qu’elle peut être le petit papillon des rêves, celui qui fait dire que la vie ne finit que quand on le dit…et si on le dit, c’est que la fin n’est qu’une bonnes fin et que si on en met trop, ça pourrait devenir trop et tuer tout ce que la vie nous a fait faire. Mais elle, elle ne veut rien abattre, juste tout recommencer, ne pas prendre les bases de son passé et s’en refaire d’autres ici, dans le clan de l’Ombre, avec son nouvel ami. Qui, vraisemblablement, lui tendait une patte pour l’aider à enfin vivre ans le doux vent, sans se demander quand ça va s’arrêter, juste vivre chaque instants, pas comme le dernier, mais le vivre en aimant le vivre. Il lui donnait sa confiance, il lui tendait le laisser passer pour être heureuse et tout ça, sans rien demander en retour. Car c’est un peut ça, le bonheur. Pendant si longtemps, trop longtemps elle s’Était mentis à elle-même, croyant que ça vie était belle et qu’elle ne voulait rien changer de peur d’être encore plus déçue, pire encore qu’elle s’en aperçoive si loin. Rendu si loin, elle ne sait toujours pas quoi faire, mais elle sait qu’elle ne pourra rien rebâtir, su ce qu’elle a vécu. Mais le temps change et maintenant, c’est le temps de le faire changer pour de bon. Elle le sait depuis longtemps, que son existence n’est de mise qu’avec elle-même et ce qu’elle veut…mais parfois, on ne sait pas très bien et on fait tout chavirer par soi même. Mais maintenant, elle accepterait de se rendre au bout du monde…peut importe avec quelle aide…peut importe comment. Mais elle s’y rendrait. Elle oublierait et vivrait. Mais pourtant, un lourd point pesait tant sur son cœur tant acharné à la voir vivre de tout son cœur. De ses rêves marbrés d’arc en ciel. Elle voulait enfin vivre…mais elle savait qu’elle ne pourrait pas le faire sur des larmes de tristesse.

-mer…ci. En fait, je ne suis qu’un petit papillon dans le dur monde des songes infinis, mon bonheur est éphémère et l’a toujours été- elle prit une seconde pour respirer et se retenir de verser une larmes encore une fois, pour en rire légèrement...pour prendre le temps- . Pour moi, tout recommencer c’est d’essayer à nouveau d’être heureuse pour quelque secondes, le temps d’un sourire. Et tu m’as fait sourire, mais maintenant, j’ai l’impression que ce sourire virera éternellement…tout ça grâce à toi, ne pars pas trop vite…ne réduit pas ces nuance si vives de couleur à la éternité givré de noir et blanc…pas trop vite...
Elle lui sourira encore un peut, juste quelque seconde. Juste parce qu’elle était heureuse…pour une fois….et pour toujours

RoRo

Le cœur de Nuage d’Iceberg s’accéléra, elle venait de sourire. Il voulait bien être la fleur de ce papillon qui rayonnait à présent de couleur, il fila une léchouille affectueuse sur la tête de celle-ci. Il n’osait pas lui avouer qu’il l’aimait, cela rendrait-il son affection pour lui moins grandissante ?
Il ne dirait rien pour l’instant. Il se rapprocha de son oreille et lui souffla quelques mots.

-Je refléterais toujours ta beauté, tes couleurs, je serais ton miroir ; si tu ta vie te terni, elle fera de même pour la mienne. Mon monde, c’est toi à présent…

Je t’aime, ça lui trottait dans la tête. Il le pensait vraiment, Ce sourire- son sourire- hantait ses pensées ; il s’entendit le lui dire. Elle n’avait pas l’air de brancher.
Tout à coup il ne fut plus sur, l’avait-il vraiment dit ?
Il s’en foutait à présent ce qui comptait c’était Elle… et manger aussi car il commençait à avoir faim.

-NUAGE DE PAPILLONS-NUAGE DE PAPILLONS-NUAGE DE PAPILLONS-NUAGE DE PAPILLONS-

Petit papillon si éphémère…
Vole vers l’infinie et ramène moi un peu d’amour…

Elle avait tellement l’impression de devoir trahir à tout prix. Tout ça, juste parce qu’elle ne pouvait pas se diviser en deux. Peut être que ce qui serait plus rentable c,est qu’elle se dissipe complètement…qu’elle laisse en son cœur un vide, une nébuleuse d’amour qui n’existe plus. Elle n’avait pas envie d’une histoire comme ça, où elle doit déchirer un cœur…pourquoi pas le sien? Pourquoi ne pas la faire souffrir elle-même au lieu des autres? Elle n’aurait jamais dû se mettre à aimer. L’amour c’est comme la haine finalement. Elle n’est transmise que par les autres et finis par un jour nous retomber dessus en une telle douleur qu’il est impossible de se relever. C’est pour ça qu’elle ne veut plus aimer. Pour que son cœur et celui des autres n’en souffrent pas plus. Mais elle sait aussi qu’au départ, ça provoque certainement un arc-en-ciel de bonheur, avec les nuances aussi colorées que les sentiments eux même qui nous habite. Mais elle savait bien que ça ne durait pas éternellement. Un jour, ce n’est que le plus réel, on en a marre de celui qu’on aime. On veut partir, pas forcément avec un autre, mais partir seule, découvrir le reste du contenu de ses pensées qu’on a laissé sous pression le temps d’aimer. Le temps de vouloir croire ce que l’autre croit aussi. Et parfois, on est soit même, parfois, on essaie, mais une part de nous est partit complètement. On ne la retrouvera plus jamais, mais cette part de nous est remplacer part celle de l’autre. Notre âme sœur. Elle nous relie presque à lui. M’ais en même temps, on ne veut plus. Puis, tellement que ces morceaux nous hantent faisant revivre à nos souvenirs toutes ces couleurs, On ne veut plus être seule. Alors, il nous reste un choix à faire. Rester seule tout sa vie pour ne pas vivre la part déprimante de l’amour. OU aimer, sans compromis…aimer tout court. Elle était encore bien trop jeune pour essayer de comprendre. Plus elle l’écoutait parler, plus elle savait qu’il était sincère. Ses yeux turquoise reluisaient, des larmes cristallines lui avaient monté aux yeux. Jamais quelqu’un ne l’avait traité aussi bien que lui. Elle lui sourit, aucun mot ne lui vint. Puis, un petit rire joyeux vint briser la glace de ce silence. Au contact du chat tigré elle eu l’impression que toute son amour porté à nuage de Quetzals venait de disparaître dans l’infinie. Telle une douce mélodie, les notes se suive, un chemin, la vie…il faut suivre les notes sans et finir cette musique…on ne peut pas revenir en arrière. Elle regarda l’autre si perturbée. Le croire? Une douce folie peut être. Mais qu’est ce que l’amour était à part ça.

-on rentre?