Un baptême en retard.

Vous savez, lorsqu’on dit qu’on a des étoiles dans les yeux, ça veut rarement dire que les paillettes dorées des firmaments s’incrustent dans vos yeux emplit joie. Elle s’en rend enfin compte, son regard turquoise s’illuminait aujourd’hui, de joie, plus de peine. Elle avait beau n’y croire qu’à moitié elle avait enfin avancer, d’un pas peut être, mais elle en avait fait un. Un sourire l’avait menée à aimer, à faire confiance et plus que tout, à finalement enterrer son passé afin d’être heureuse. Son premier pas, c’était ça en fin de compte, effacer son vécu. Pourtant, après avoir effacé toutes ces épreuves de sa vie, elle sentait que tel une feuille de papier où on a voulut rayer puis rayer en finalement se disant que la seule chose à faire pour réussir était d’effacer, et bien, ces petits traits resteront indéfiniment. Après, on abandonne et on déchire tout…mais de reprendre les morceaux un peu plus tard et d’en faire son récit, il n’y a rien de plus dur. Elle l’eut appris si tard dans sa misérable vie que maintenant, elle ne savait ne plus trop si elle devait sourire en en pleurer. Elle était tellement perdue, ne sachant trop que quoi faire. Elle s’abandonna complètement et essaya de maintenir sa vie comme ça, un nouveau départ, rien de plus. Sauf qu’à chaque pas, il lui semblait qu’elle se perdait un peu plus. Elle aurait tellement aimé voler comme les papillons, sans soucis puis c’est la vie. Parce qu’après tout, elle ne désirait que ça, en un sens, s’envoler, pour finir par réaliser un rêve qu’elle convoite depuis si longtemps. Comprendre, ou quelque chose comme ça. Enfin, comprendre l’amour de cette vie, aussi bien qu’il peut entraîner une guerre ici. Comprendre pourquoi on respire, sans arrêter, et ne pas mourir aussi vite qu’on est née. Ouai, il y a bien quelque chose entre la vie et la mort, quelque chose qu’elle n’a pas encore découvert malgré elle. Aujourd’hui, elle y tenta, elle tenta d’oublié…elle tenta plus que tout de pardonner. La jolie rouquine s’avança à l’appel de son nouveau meneur. Elle ne s’y avait toujours pas fait à cette ici…de devoir répondre à cette appel la dégradait tellement. Elle s’assit, bien loin derrière, loin des regards indiscrets, un peu plus près du cœur de son frère. Quand la vois massive de son père résonna dans ses oreilles sensibles, elle n’avait que d’envie de partir loin d’ici et de ne plus revenir. De ce trouver quelque chose dans ce monde, quelque chose qui pourrait être avec elle et non contre elle. Mais quelque chose l’en empêcha un lien, qui ne tient que par un fil, une voile invisible qui la fit se tenir droite et retenir ses larmes. LA nomination de son ami? Peut être, mais autre chose, quelque chose de plus concret encore que la simple pensée en son âme qui la faisait tenir debout encore un peu. Puis, elle fut appeler elle avança d’un pas mal assurer avec qu’envie de siffler. Tous sans exception la regardait se demandant qui elle pouvait bien être, elle était pourtant arrivé ici il y’a plus d’une lune. C’est misérable, le clan de l’ombre est misérable…elle se rend compte dans celui du tonnerre elle y était bien plus importante. Mais enfin, après avoir fait tout les clans, peut être arrivera t’elle à se décider. Elle monta avec grâce rejoindre son père et dès lors, elle ne s’y sentait pas à sa place, si près de lui, comme elle aurait dû l’être, elle ne voulait pas l’être. C’était si clair à son esprit, mais si confus venant du monde. La cérémonie se déroula si vite, elle n’avait eu le temps que de suivre des yeux les chats qui se dandinaient impatients de retourner à leur occupation. Parce que pour eu, les deux chatons sur le promontoire ne valent rien et il ne vaudront rien jusqu'à se qu’il sauve un clan. Alors tout le monde ici se prennent pour les moins que rien. Elle l’avait compris dès qu’elle avait mit les pieds ici, des moins que rien enfermé dans une coquille si dur à percer. Seul au monde, mais pourtant on est tout tellement pareils dans notre cœur. Soudain, la sortant des ses mélancoliques pensées, étoile ambrée lui lécha la joue, elle aurait pu faire la moue à se contact. Mais ça, ça vaudrait vraiment rien, elle lui sourit, un sourire trop forcé puis descendit comme elle était monté. IL lui proposa de faire un tour, à contrecoeur, elle accepta tout de même. En cours de route, elle faillit laisser échappé une larme. Les deux félins marchèrent se qui lui parut une éternité avant qu’elle s’arrête enfin…Le regard rivé vers le sol, elle demanda à son géniteur

Une question si brève, elle ne savait plus pourquoi elle l’avait poser…juste pour être sûr peut être. Ou juste pour se rendre compte qu’elle n’était plus à sa place ici et nul par ailleurs.