Feelings & Chatiments.

FLEUR DE PENSÉE
Nuage de Papillon
Musique:https://www.youtube.com/watch?v=x20YAPjmLos

Dans la pénombre de la tanière des guerriers, on pouvait percevoir les mouvement agité d'une jeune guerrière... Soudain sa silhouette se releva d'un bond élégant! C'était Fleur de Pensée. En regardant autour d'elle, elle rentra les griffes et sa fourrure se remit en place sur son échine...
Encore un cauchemar....
La jeune femelle soupira. Elle sortit de la tanière d'un pas chancelant. La rosé fessait des perle sur chaque brin d'herbe. Fleur de Pensée en lécha quelque gouttes. Le camp s'éveillait lentement. Les apprentis somnolait devant leur gîte, tandis que les anciens prenaient un bain de soleil. Le tas de gibier était bien fournit. En levant son museau vers le ciel, une odeur de nouvelles pousses vint chatouiller ses narines. Un grondement de son ventre lui rappela sa faim. Elle se dirigea donc vers le tas de gibier. Elle se choisit un écourterait bien dodu pour la saison, et y plongea les crocs. Tout en mangeant, elle observait le ciel. Lorsqu'un coup sur son flanc la fit se retourner. Le seul chaton du Clan l'avait percuté!
"-Va t'en!" cracha t'elle en montrant les croc.
En voyant le petit reculé lentement, terrifier elle ne put que réprimer un feulement sonore. Le pauvre chaton détala sans demandé son reste. Fleur de Pensée se rassit et fini de manger en gardant les yeux aux sol. Beaucoup ne l'appréciait guère pour son agressivité et sa solitude. Mais qu'es ce qu'elle aurait donné pour manger en compagnie, au moins une seul fois. Petite, elle s'était imaginé une toute autre vie. Elle secoua la tête, comme pour chasser ses pensée encombrante. Soudain, elle redressât les oreilles. Des pas derrière elle....

Qu’une nuit, que voulez vous, une nuit de plus, qu’est ce que ça peut bien changer, le monde des rêves, un monde qu’elle n’attendra jamais dans toute sa vie, même si elle y croit encore, sa vie est contrôler, ses rêves on été saisit, seul son âme peut tout venir changer, ses valeurs on été détruite, il ne lui reste qu’a comprendre avec son cœur, à plonger dans l’eau tumultueuse d’une vie nouvelle. Elle devra se résigner un jour, ne plus être comme son cœur le veut, mais comme son père, son frère et tout le monde ici veut. De toute façon, personne ne l’a jamais aimé, c’est une certitude qu’elle s’était ingérée avec le temps. Elle somnolait devant la tanière, la rosée faisait perler les brins d’herbes et le vent glacé de l’automne la faisait frissonner un peu. Elle se leva histoire de se dégourdir les pattes, avec un soupir et une mine déconcerté, elle se rendit à l’évidence, nul par était son chez soi. Elle fit quelque pas misérable, sa respiration lente et rauque, c’était bizarre quand même, l’air nous fais vivre, c’est comme manger et marcher, quelque chose de si simple qu’on ne songe pas, mais pourtant qui existe, oui, l’Air existe bien, mais on s’en fous, on croit qu’il n’y a que nous, on ne regarde pas ailleurs quand dans les profondeurs de notre cœur pour y trouver la plus misérable parcelle d’une vie que l’on ne pourra jamais atteindre. Elle trouvait ça si injuste, trop injuste. Depuis son enfance, tout ce qu’elle a osé vouloir était un peu plus d’amour en ce monde, elle a tout fait, tout essayé pour s’épanouir, mais maintenant, elle se sentait compromise à la vie qu’on veut lui faire avoir. Compromise et elle était la seule coupable, coupable d’être née comme elle est. Dans ses jolis yeux turquoise, les eaux d’une tristesse mélancolique infinie s’emblait s’y être plongé sans jamais pouvoir y ressortir, ses rêves noyer dans ces mêmes flots, aucun espoir n’avait pu y ressortir. Ses pas lent et sa respiration confronter au désespoir ne la regardait qu’elle, puisque c’était ça vie, et qu’on lui avait détruit…

Son regard se porta sur le tas de gibier tandis que son estomac lui criait sa famine insoutenable. Mais il y avait déjà quelqu’un, Fleur de Pensées, celle qui n’aimait personne d’autre que soi même, mais dans le fond, la rouquine sentait que comme elle-même, elle ne voulait que se sortir de la pénombre dans lequel la vie avait bien voulut la plongé, elle n’eut trouvé d’autres moyens que de se refermée, pour ne pas blesser quelqu’un. Ce qui eu l’effet de lui arracher un soupir. Personne n’est vraiment différent, on a juste toute une façon, de vivre, différente. Ne voulait pas rompre ce silence, elle fit demi tour, sa faim attendrait bien, mais pour l’instant, elle ne savait plus ou elle en était. Si quelqu’un voulait bien la voir, se ne serais pas a elle se faire le premier pas dans se monde ou personne n’ose l’aimer. Mais peut être que comme elle, les autres aussi avaient juste besoin d’une nouvelle chance. Sans vraiment être décidé, elle alla s’asseoir en silence près de la chatte tigré puis, la queue enroulé autour des pattes, elle émis une léger son, qui bientôt devint un mots, aussi simple soit t-il, mais elle avait parler, se sa petite voix si douce à l’oreille…c’était bien elle.

-bonjour…

"-Bonjour..."
se murmure fit tourner la tête de Fleur de Pensée. Nuage de Papillon ce tenait près d'elle, la queue enroulé autour des pattes. Fleur de Pensée la regardais avec surprise. Elle la connaissait, elle et son histoire de clan-mêlé. Mais jamais elle ne lui avait adressé la parole. Même pas échangé un sourire ou un regard. La jeune rouquine avait l'air gêné. On pouvait percevoir une certaine tension dans l'air. Dans un raclement de gorge, elle répondit à son salut pour un hochement de tête. Elle replongea aussitôt dans son repas, en prenant bien soin de garder ses yeux rivé au sol. Lorsqu'elle s'arrêta soudainement de mâcher. Toujours en fixant le sol elle articula ces mots:
"-Tu veux partager? "
Fleur de Pensée regretta bien vite ces paroles. Les guerrier et les apprentis ne mangeaient jamais ensemble...
Pourtant, la jeune guerrière éprouvait une certaine sympathie envers cette apprentie. C'était la première fois qu'on lui adressait la parole, sans qu'il y ait de contrainte... Oui, pour la première fois, son coeur de glace se réchauffait un peu. Comme pour saluer l'événement, un rayon de soleil vint s'écraser dans la clairière du camp. Un frisson de bien être parcourut le corps de Fleur de Pensée. Elle aimait le contacte de l'astre de feu sur sa fourrure. La femelle se leva et plongea ses yeux bleu glace dans ceux de la nocive. En penchant la tête de côté, elle attendit sa réponse...

[Plus court tu meurt... è.é]

La rouquine, non loin du monde réel qui ne touchera jamais à ses rêves, elle regarda farouchement la chatte à ses côtés, à la fois si distante mais en même temps, elle avait l’impression que son cœur de glace commençait à fondre. Le monde tel que la chatonne le voyait ne rendait justice à personne. Tous devaient se découvrir avant de vivre. Parfois, certain abandonne sous prétexte que rien ne leur rende justice, que la vie n’a plus de couleurs, parce qu’il ne les ont jamais découverte. C’est ce qui se passait présentement avec nuage de papillons, elle se sentait dissous, les couleurs se perdait et se confondaient avec des nuages de gris, la vie devenait insipide et sans arômes. Elle ne comprenait pas pourquoi. Elle, si jeune, avait découvert que personne ne voulait d’elle. Puis son frère lui avoua qu’il l’aimait. Mais il lui avoua en la quitta, en la laissant à la merci du monde. Elle lui en avait tellement voulut, sachant tout de même tout au plus qu’il l’avait pour son bien et elle, savait qu’il lui en voulait énormément pour ne plus vouloir l’aimer à cause de ça. Mais si elle lui en voulait tellement, c’était parce qu’il l’avait abandonné, c’était la seule personne qu’elle aimait vraiment et voilà qu’il l’a livrait à étoile ambrée leur père biologique. Et que maintenant elle se sentait tellement seule sans lui. Elle se sentait comme personne. Une âme sensible qui virevoltait dans la cruauté du monde sans vraiment pouvoir se changer en un être intraveineux, en restant fluide. Cependant, il en restait que la chatte à ses côtés, extrêmement expressive, ayant grandis dans le clan de l’ombre ne sache pas plus qu’elle, si on peut raviver une vie sans couleur. Elle l’invita à manger avec elle. Ne voulait pas se montrer impolie elle resta assise bien droite et regarda toujours au alentours, Fleur de Pensée avait l’air de regretter ses paroles. La rouquine y songea, si tout le monde pouvait s’exprimer sans regretter par la suite, probablement que sa vie serait emplit d’une famille d’amies et de proches, parce que tout le monde aurait put avancer vers elle sans la peur de ses faire juger. Mais on dirait que dans ce clan, il n’y a que les mauvais songes qui peuvent être dit. Elle l’avait bien remarqué. Avec son histoires, les regards mesquins son les bienvenues, la fille de la meneuse du tonnerre et de celui de l’ombre…la sang mêlé, la faiblarde qui tient tout de sa mère. Elle en avait eu assez il y a bien longtemps, mais ne s’était pas plainte. Le petit chat tigré nuage d’iceberg, lui, était comme tout les autres mais pourtant quelque chose l’avait poussé vers elle. Et maintenant, cette chatte tigré qui, paraît t’il, rend justice au clan de l’ombre. Nuage de papillons se retient de verser une larmes tellement l’instant était cruel. Elle ne voulait que se faire revivre. De devenir ce qu’elle aurait pu être. Marchant dans les pas de sa mère, maintenant, elle a deux voix, celle de son père et celle d’Étoile de roseaux à suivre. Mais son choix est fait, elle prendra un tout autre parcours, le sien. N’ayant pas entendu le coup de feu, elle est restée sur la case pendant trop longtemps. Un temps qu’il est temps d’évoluer. La petite chatte se coucha la tête posée sur ses frêles pattes. Elle murmura à l’Autre et pour soi même

- Tout le monde est seul, seule dans son monde…Mais on n’est jamais vraiment seule. C’est juste qu’on cherche mal la présence qui nous permet d’avancer… Je suis seule, je n’ai personne, et personne ne me veux…je n’ai plus vraiment de mère, mais je l’aime quand même peut importe ou elle ait. Mon père veut me voir changé avant de m’aimer, mon frère m’aime, mais m’a trahis en était plus avec moi…je suis seule…il n’y a plus personne…comme toujours.

Un petite larme coula laissant un flot humide sur la joue. Elle s’en contrefichait bien. Qui donc sa tristesse importait bien? Personne ne la comprendrait vraiment…

*nul nul nul nul nul nul *____*

Fleur de Pensée

"L'absence est à l'amour ce qu'est au feu le vent.
Il éteint le petit, il allume le grand." Bussy-Rabutin.

Nuage de Papillon ne répondit pas tout de suite. Elle paraissait noyer dans un flot de pensée. Peut-être qu ‘elle n’avait pas entendu que Fleur de Pensée l’avait invitée à partager.
La jeune guerrière allait ouvrir la bouche pour reformuler son invitation, mais la nocive la devançant :
“- Tout le monde est seule, seule dans son monde…Mais on n’est jamais vraiment seule. C’est juste qu’on cherche mal la présence qui nous permet d’avancer… Je suis seule, je n’ai personne, et personne ne me veut…Je n’ai plus vraiment de mère, mais je l’aime quand même peut importe ou elle ait. Mon père veut me voir changé avant de m’aimer, mon frère m’aime, mais m’a trahi en était plus avec moi…Je suis seule…Il n’y a plus personne…Comme toujours. “

Fleur de Pensée resta là, incrédule, elle n’avait pas l’habitude qu’on se confit à elle. Mais, un court instant, un ombre d’incertitude voila ces yeux. Et si la jeune chatte se fichait d’elle? Mais la petite paraissait sincère. Elle prit alors une profonde inspiration.

“-Je sais Nuage de Papillon… Moi non plus, je n’ai personne. Mais pourtant, je continu de me battre, jusqu’au bout.Il faut continuer à croire en un monde meilleur, mais sa ne suffit pas. Il faut sois même le bâtir, ce monde... tu comprends? “

Fleur de Pensée avait de la peine à voir cette jeune femelle qui débutait sa vie, et qui se tenait là, devant elle à se morfondre. Elle, lorsqu’elle était nocive, elle se retrouvait souvent seule, mais ce n’était jamais plains de sa solitude. Mais, elle s’y était attaché à cette solitude. Non, on ne pourrait pas dire qu’elle l’aimait mais elle s’y était tout simplement attachée.

Une rafale de vent fit tremble les branches des arbres majestueux. Une avalanche de feuilles vint s’écraser sur le sol sablonneux de la clairière, telle une nuée de papillons rouges, orange…

La rouquine restait infidèle à elle-même. Au cours de sa vie, elle n’avait jamais su ce qui est bon pour. Mais pour les autres. Et le fait de parler lui faisait rendre compte de ça. Ouais, elle aimait son frère. Il L’avait aidé en fion de comte. Il l’avait aidé à grandir et à être plus forte. Parce que la vie est sans pitié et nous, on est faible. Mais là, lui, il ne devait plus l’aimer avec toutes les foutus bêtises qu’elle a faite. IL regarda un instant la guerrière, elle, elle avait toujours vécus dans la solitude et son cœur s’était emplit de noir. Mais elle était dans le clan de l’ombre aussi, ça ne pouvait pas nuire. Pour la chatonne, il semblait que si elle continuait de vivre ainsi son cœur deviendrait si noir que toute la pureté serait devenu indéchiffrable, pour elle. Si sera impossible d’aimer de nouveau. Même si maintenant, elle pense un peu plus comme une adulte. Elle est toujours jeune et pleine de fougue.

“-Je sais Nuage de Papillon… Moi non plus, je n’ai personne. Mais pourtant, je continu de me battre, jusqu’au bout. Il faut continuer à croire en un monde meilleur, mais sa ne suffit pas. Il faut sois même le bâtir, ce monde... tu comprends? “

Ces paroles pleines de ressources on pénétré en elle comme une douce lueur d’espoir. Elle n’était pas obligée d’être malheureuse après tout. C’était son choix. Et les autres n’avait rien à voir. Elle pouvait bien se réjouir de tous les petits moments heureux et ne laisser personne ne les gâcher. Elle baissa la tête confuse et la releva presque aussitôt. Un léger sourire pendu aux lèvres. Tout le monde passait donc par les mêmes épreuves. Son cœur se gonfla. Pourquoi personne ne s’entraidait quand ça arrivait. Personne ne comprend. Mais tout le monde la vis. Elle avait tellement envie de pouvoir partagé avec Fleur de Pensées. D’avoir une amie en fin de compte. Même quand Nuage de papillons partirait, Son amie restera dans son cœur pour toujours. Elle alla s’allonger près de la chatte, son estomac criait famine. Mais elle avait retrouvé sa curiosité.

-Dit, Fleur de Pensées…as-tu déjà été amoureuse? Enfin, est ce que c’est pour ça que tu es si distante. Parfois. On se fait tellement briser le cœur qu’on ne veut plus recommencer d’essayer d’aimer. Je crois que les plus grande blessures ne partent jamais. Ou bien qu,elle cicatrisent en faisait toujours tellement mal. mais se ne sont pas celle de la guerre...mais celle du combat que tu livre avec toi même. et tes émotions qui peuvent blesser ton coeur et le faire noircir…dit?

Gomen du retard!

La novice baissa la tête. Fleur de Pensée ne faisait déjà plus attention à elle... Elle repensais à sa vie. Qu'avait elle gagner? Rien... Rien du tout même. Sauf peut-être une chance de saisir une amie... Et cette chance, c'était maintenant, tout de suite. Elle leva aussitôt la tête! Cette fois, la chance serait de son côté! Elle fixa Nuage de Papillon dans les yeux lorsque celle-ci prit la parole:

"-Dit, Fleur de Pensées…as-tu déjà été amoureuse? Enfin, est ce que c’est pour ça que tu es si distante. Parfois. On se fait tellement briser le cœur qu’on ne veut plus recommencer d’essayer d’aimer. Je crois que les plus grande blessures ne partent jamais. Ou bien qu,elle cicatrisent en faisait toujours tellement mal. mais se ne sont pas celle de la guerre...mais celle du combat que tu livre avec toi même. et tes émotions qui peuvent blesser ton coeur et le faire noircir…dit?"

Fleur de Pensée eu un hoquet de surprise. Elle ne s'attendait pas du tout à cette question. Surtout pas de la part de Nuage de Papillon. Oui, oui. Oui, c'est vrais elle était déjà tombé amoureuse. Et elle l'était toujours. Pénombre Eternelle... C'était un grand mâle. Ces yeux claires contrastaient mal avec son pelage charbonneux. Quand il marchait, on voyait avec évidence ses muscles roulés sous sa peau. Oh! Comme elle l'aimait, elle l'aime... Les yeux de Fleur de Pensée picotait. Et lentement il s'embrumèrent. Et sans qu'elle puisse reprendre le contrôle sur elle même, une grosse larme coula sur sa joue, filet d'eau salée...
Elle en avait marre de se battre. Un frisson lui parcourut de corps et d'autres lames prièrent leurs sources dans ces yeux ambres. Dans un hoquet de douleur elle tourna la tête vers Nuage de Papillon.

"-Non, non... Je n'ai jamais connu l'amour...."

…Trop jeune…

Qu’est ce que l’amour en vérité? Le savait t’elle vraiment? Non, elle était juste trop jeune pour comprendre, elle avait déjà compris de nombreuses choses, mais son père ne l’a jamais aimé, sa mère a tant pleuré. Son frère…oui elle a aimé son faire. Mais est ce que c’était qu’une partielle étincelle d’amour? Elle l’ignorait, elle ne lavait pas vu depuis si longtemps son frère. Nuage d’iceberg, il l’avait bien aidé, il l’aimait, elle pensait, et elle aussi l’aimait bien. Mais à part ça, qu’est ce que c’est vraiment? Elle aurait bien aimé le savoir pour pouvoir comprendre Fleur de pensées lorsqu’elle lui mentait, de savoir pourquoi premièrement aurait était un atout majeur, mais le regard presque éteint de la jeune femelle tigré lui faisait savoir qu’il ne fallait pas pousser l’interloqué vers le sujet. Elle ne su quoi dire, elle sentait qu’elle avait touché une corde sensible de la vie de Fleur de Pensées, ou bien peut être qu’elle lui avait dit la vérité, et qu’elle n’avait jamais aimé…et que c’était pour ça qu’elle était triste à ce point. Elle refusait de le croire, c’était tellement triste comme histoire, ça rejoignait presque la sienne. Trop jeune pour comprendre hein? De la vie, elle en comprendrait toujours plus, chaque matin, chaque journée, chaque soir. Elle rêvait de se coucher aussi coloré que le soleil. Pour sentir qu’elle a finalement accomplit quelque chose. Mais jamais elle ne se sentirait comme ça. On l’admirerait seulement si elle était comme les autres, mesquine et cruelle. Si elle changeait…Et ça. Elle était vraiment trop jeune pour le comprendre, pourquoi on ne peut pas aimer les gens authentiquement. IL faut qu’ils changent. Mais elle, elle n’avait pas l’intention de changer, elle n’aurait peut être aucun amie, elle pourrait toujours se retrouver malgré tout. Son regard se voila de tristesse alors qu’elle ne renifla pas très bruyamment. Elle releva la tête et di sur le même ton…

-mais de toute façon, je suis trop jeune…

((c nul je sais, mais none inspi pour cette fois-ci…au moins, j’ai répondu!))

Nuage de Papillons

Nuage de Papillons sentit cette question lui pénétré loin dans les entrailles. Depuis toute jeune on flattait ses principes et ses valeurs a rebrousse poil. Parfois sans s’en rendre compte et parfois, on en était bien conscient. Mais cette question, celle qu’elle se posait chaque soir avec son sommeil, celle qui l’empêchait justement de dormir parce qu’elle était tellement confuse et qu’aucune réponse n’était venue à date. Mais désormais, elle le savait, Elle n’était pas venu ici de son plein gré, elle y avait été forcé et maintenant, elle avait envie de crier tout les jours, toute les nuits, à toute les minutes et tout les moments qu’elle en avait marre, qu’elle voulait repartir a zéro. Mais qu’elle pourrait faire ses propres choix, qu’elle pourrait décidé d’être qui elle veut. Alors oui, elle le regretterait toute sa vie. Parce que de voir ambrée tous les jours en se rappelant que tout était de sa faute, si sa mère était malheureuse, si elle était là aujourd’hui. Et si quetzal ne l’aimait plus en final pour se qu’elle deviendrait…Le voir ne lui rappelait que sa. Une nuit peut tout changer, une minute même. C’est suffisant pour vous détruire l’existence. Elle reporta alors son regard turquoise vers l’avant de là, était Fleur de Pensées qui portait si bien son nom. Elle aurait aimé lui répondre, mais elle savait que probablement, tout se que la chatte tigrée obtiendrait d’elle serait des flots de larmes difficile à comprendre. Donc, elle se tu, elle hocha la tête sur le côté tristement.

-Merci d’avoir partagé avec moi…

Elle partit, sans plus un mot, elle partit comme ça, vers l’entré du camp, là ou peut être, pourra t’elle s’évadée un peu et revenir quand ça ira mieux. Si seulement tout était aussi facile…

Fleur de Pensée regardait intensément Nuage de Papillon. Elle savait qu'elle n'aurait pas du posé cette question. Mais c'était venu dans le feu de l'action. La chatte affichait un regard de marbre, où aucun sentiment ne venait perturber la neutralité. Nuage de Papillon ne la regardait plus. Tant pis, car Fleur de Pensée aurait longtemps soutenu son regard. Elle ne supportait pas qu'on la mette au défi. Elle gagnait toujours de toute façon. Toujours... Mal grés le masque impassible qui couvrait le visage de la chatte, son esprit bouillonnait. Elle aurait voulu ce taper la tête contre un arbre. Oui, un arbre bien dure et bien ferme. Qu'elle puisse oublier a c*nnerie qui lui avait échappé de la bouche.

* M*rde *

Fleur de Pensée aurait pu s'excuser. Mais, elle ne s'excusait jamais de rien. Jamais elle n'avait eu à s'excuser. Elle avait toujours été une chatte acerbe. Oui, méchante et acerbe. Quelle réputation! Fleur de Pensée voulait tout reprendre à zéro. Mais, ce n'était pas simple. Tous ces préjugés qui l'aplatissaient et qui l'empêchait d'avancer... Oui, très dure même. Fleur de Pensée plongea ses yeux dans le vague. Dure, dure, dure... Ce mot valsait sans cesse et de plus en plus vite dans la tête. Oui, se cogner la tête contre un arbre pour l'en faire sortir était une bonne solution. Fleur de Pensée sourit à cette pensée. Idiote elle était. Ses yeux quittèrent l'océan de l'oubli et cherchèrent ceux de Nuage de Papillon. Ses yeux saphir lui jetèrent un long regard où l'on pouvait lire toute la peine du monde. Fleur de Pensée écarquilla les yeux. Était-il possible d'avoir tant de peine?
Son arbre, m*rbe! Où était-il?! Une fois de plus elle aurait voulu lui rendre visite.

-Merci d’avoir partagé avec moi…

Nuage de Papillon surpris Fleur de Pensée en pleine méditation. La chatte hocha la tête. La rousse bassa la tète et parti, la queue traînante. Fleur de Pensée n'avait pas bougé.

-Pardon... soufla-t-elle pour elle-même, Pardon....

FIN! ♪