J'ai peut être juste besoin d'une chance [pleine lune]

La vie l’a laissé suivre sa voir, son cœur l’a laissé aimé…sa tête n’a put prévoir les coups que lui a donné le fameux karma de toute cette manipulation…les jours sont noirs, mais sont regard reste encore malgré tout aussi étincelant, un signe? Probablement, un signe qu’elle y croit encore, oui, elle y croira toujours…Toujours…elle ne pourra s’empêcher de se dire que tout peut s’arranger un jour ou l’autre. Parce c’est vrai, le karma marche dans les deux sens, la vie n’est pas sans promesse, elle ne ment pas…c’est juste qu’elle les réalise pour elle-même…il faut parfois faire tout soit même. Pourquoi ne pas être aidé par son cœur? Oui, la chatte y croyait toujours, cette rouquine, mince et agile de l’extérieur mais si menu et au bord du désespoir de l’intérieur, elle soupira pour faire sortir toute la mélancolie de son être…cette même mélancolie qui l’a abattue tant de fois au cours de sa vie non pas sans mystère. Elle regardait le jour décliner avec un regard songeur, un regard qu’elle avait mit tant de fois à disposition du monde entier, un regard qui ne faisait que prouver qu’elle rêvait toujours, à quelque chose…quelque chose qu’elle voulait, quelque chose qu’elle a toujours voulut…la vérité. La vérité s’est logé au fond de son cœur, il y a si longtemps, la clé, rouillé par ses larmes amers, n’ouvre plus rien…elle attend qu’un ouvre son cœur, qu’on libère ses songes et ceux de son cœur…elle attend, et elle attendra toujours. Elle n’a que ça a faire, ou plutôt, elle ne veut que le faire, elle refuse d’avance par peur de ne vouloir confronter son futur…c’est une question qu’elle ne se pose plus, elle ne se demande plus ce qui l’attend parce qu’elle ne veut plus avancer, elle est seule, seule dans son monde, toutes les paroles et les rêves lui semblent éphémères. Pourquoi, parce qu’elle n’a que d’oreille pour l’appel de la vie qui viendrait perler ses nuits…d’ailleurs, elle ne dort plus, de peur de rater ce précieux appel. Elle ne fait que se coucher et contempler la toison argentée en se demandant ou est sa voie…en leur demandant ou est sa voie. Mais elle ne voit rien de son regard doré…rien qu’elle-même à travers les étoiles. Elle est assise, droite, sans bouger, seule le vent chaud d’été qui levait le sable beige derrière elle faisait bouger son doux pelage flamme. Elle n’était plus heureuse, elle avait oublié de l’être…elle ne voulait plus l’être. Elle ne le serait plus jamais. Elle se demandait, tout en regardant les dernières lueurs du soleil quand son jour de décliner viendrait, soudain, elle avait hâte, elle avait hâte de voguer parmi ses songes. De n’avoir plus rien à comprendre…Mais pourtant, la mort fait partit de la vie, celle qu’elle ne veut plus regarder, celle qu’elle a oubliée. Trop préoccuper, elle n’a entendu le bruissement des pas. Elle ne se retourna pas, elle resta là…encore une fois. Mais l’Odeur de son amie d’un noir complet venait à son nez…Pleine lune, elle avait envie de lui parler, mais en même temps, le poids de ses mots lui semblait trop lourd pour venir à sa bouche. Elle ne fit que lancer, sur le temps d’un soupir, sur la note qui suit :

-Bonjour pleine lune…Ça fait longtemps que la vie m’a laissé tombé…mais toi, es-tu toujours autant avec moi?

E

« Perdre à un jeu, ça sert à apprendre ne plus refaire les même erreurs. Mais perde son passé quand la vie n’est plus un jeu…c’est d’avoir une plaie qui ne se refermera vraiment jamais… »

Soupir, celui d’un vie, celui d’une pensée, celui qui fait dire à tant de monde qu’il aurait put faire mieux. Celui qui lui a fait dire qu’elle a raté sa vie. Celui qu’elle souffle un peu plus chaque jour en croyant qu’il n’y a plus rien pour elle quelque part. Mais elle y pense, elle pense au moment de sa vie, où elle déjà aimer respirait l’air pur de la vie. Puis, elle se dit qu’il lui faut sortir de la voie tracée pour elle et s’épanouir à sa façon. Non, la vie ne sera jamais un jeu, c’est tout au rien. La vie ne sera pas plus insipide que le goût de l’air. IL faut le ressentir au plus profond de soi. C’est simple mais pourtant, certains oublie que tout cela ne s’agit que de soi. « Tel un ombre, elle passa devant sa vie, lui murmurant de l’aider, elle lui rit au nez lui répliquant qu’il faut qu’elle crée sa voie, et alors la vie se formera » C’est tout…La meneuse rousse soupira un dernière fois avant de se lever avec peine, comme à l’habitude, les songes ne changent pas. Et ce qui fait le plus mal, c’est quand on fuit le passé et qu’il nous rattrape. Où quand on n’a jamais vécus notre passé comme il se doit…Quand ne sait plus rien. Non, elle ne sait plus rien. Pourquoi? Pourquoi tout ne peut pas être simple, simple comme se regarder dans l’eau et que le doux reflet de nos songes nous dise si oui ou non, notre destinée va exister. Tout n’es pas simple comme ça. Pourtant, elle aimerait tellement que plus rien ne se mélange. Qu’enfin, elle vive libre. Mais elle, tout comme tant d’autre, entre l’avenir et le passé, na savent ou se réfugier, ne savent où allez pour que tout s’arrange. Puisque dans leur tête, tout est confus, il vive de confusion, sans vraiment savoir. Il ne leur reste que le réveil…un sombre réveil de leurs songes. Pleine Lune lâcha ses mots si durement qu’elle faillit en perdre la tête. Toutes les deux semblaient plonger dans un peine de désespoir si profondes, qu’elle n’égale rien. Elle rejoins pleine lune bassement, elle s’allongea près de pleine lune, leur fourrure se collaient et ne formaient, on aurait put dire, un. Comme leur âme, pleine lune et elle, ne formaient qu’une face à la vie.

-ton passé n’est pas éphémère, ni utopique…est loin, juste loin…loin dans tes songes et tes rêves…Nous allons le retrouver je te le promets, nous allons retrouver ta famille et tu pourras aller les rejoindre et revivre ce que tu as toujours voulut…je te le promets pleine lune…

Arrête ! Stop ! Une Promesse ? Encore ?! Toujours. Non S'en est assez. je n'y arrive plus. C'est Fini. Je ne peut plus te croire. Je n'arrive plus à técouter. Ni même à réfléchir. Je ne mérite rien. Si ce n'est le faite de mourrire. J'ai perdu le souffle. L'inspiratien. Mais pourquoi ?! Ce n'est pourtant pas que je le veux. J'ai même oublier mon Poste; Mon Grade; Mon devoir. C'était trop dur. Il ne fallait pas me choisir. Je n'étais pas digne. Va t'en et laisse moi souffrire. je veux partir.

FIN

» Une perdu et rancontre peut etre dangereuse...
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